Mon bilan sportif de la dernière semaine est plutôt court:
Dimanche: 5 km de la Course St-Laurent. Avec le réchauffement, j'ai couru environ 6 km.
Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course, avec un vent de face. Pratiquement aucune attente aux feux de circulation. 6,7 km courus en 32:37. FCmoy=136 bpm, FCmax=152 bpm.
Jeudi: Musculation. Retour chez moi à la course sous une pluie faible. 6,7 km courus
en 32:59. FCmoy=131 bpm, FCmax=144 bpm.
Samedi: 120 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 80 minutes.
En somme, 2 séances de musculation, environ 19,4 km de course à pied et environ 80 minutes de temps de jeu au cosom.
Pour la première fois depuis très longtemps, je n'avais tout simplement pas la motivation de sortir pour aller courir pendant la semaine qui vient de se terminer. J'aimerais pouvoir dire que c'est uniquement une petite baisse qui fait suite à l'atteinte de mon seul objectif de course de ce printemps, mais déjà la semaine précédente il fallait que je me «parle» pour réussir à trouver l'envie de bouger. Mine de rien, je n'ai pas fait de sortie de course de plus de 7 km depuis maintenant 11 jours.
Ce genre de petit creux arrive à tout le monde un jour ou l'autre. Il me reste à espérer que la motivation reviendra plus tôt que tard. Ce serait dommage que je laisse s'envoler les gains des derniers mois...
dimanche 29 avril 2012
dimanche 22 avril 2012
5 km de la Course St-Laurent 2012
Après plusieurs mois d'efforts, je peux enfin dire mission accomplie. C'est en partie grâce à Yves Boisvert, mais ça, je l'ai appris seulement après ma course.
Voilà, maintenant vous savez tout. C'est donc ici que se termine ce billet.
Mais non, voyons, comment pourrais-je écrire un compte rendu de course qui ne fasse pas mention de toasts au beurre de pinottes, ne serait-ce que pour dire que je n'en ai pas mangé ce matin? J'ai tout de même respecté ma routine pré-course qui consiste à prendre un bon déjeuner que je termine environ 3 heures avant le départ.
Je me suis par ailleurs assuré d'arriver une bonne heure avant la course, question d'avoir le temps de récupérer mon enveloppe de coureur, de décider de la stratégie vestimentaire optimale dans le froid quasi hivernal (3˚C, vent de 28 km/h), d'aller porter mon sac au vestiaire, de m'échauffer et de faire un arrêt aux puits. Une fois que tout cela a été fait, je me suis présenté rapidement sur l'aire de départ afin de m'assurer d'avoir une place près de l'avant du peloton puisque, comme dans le cas de la Course et marche populaires de LaSalle, il n'y a pas de tapis de départ. C'est donc le gun time qui fait foi de tout.
J'étais placé relativement près de la ligne de départ (à environ 3 ou 4 mètres), et en regardant autour de moi j'ai vu plusieurs personnes qui n'avaient pas d'affaire dans ce coin du peloton. D'un autre côté, comment blâmer ces gens de vouloir que leur temps de course officiel corresponde le mieux possible à leur temps réel? La personne qui s'est entraînée fort pour être en mesure de courir un 5 km sous les 30 minutes mérite tout autant que celle qui finit en 15 ou 20 minutes d'avoir un temps affiché qui reflète ses efforts. Avec plus de 600 participants, avoir des tapis au départ devient donc une nécessité selon moi, quitte à ce que l'inscription coûte quelques dollars de plus.
Comme il fallait s'y attendre, ce fut la cohue au départ. Tout en proférant quelques sacres dans ma tête, j'ai couru sur les sections du terre-plein du milieu de la route qui étaient dégagées, question d'être en mesure d'avancer sans être forcé à arrêter complètement à de multiples reprises.
Une fois que j'ai eu la voie libre, j'ai adopté instinctivement un rythme plus rapide que 4:00/km afin de rattraper le temps perdu, tout en espérant que je n'étais pas en train de me brûler. À mesure que nous nous dirigions vers le carré situé à l'extrême ouest du parcours, j'ai noté avec soulagement que le peloton demeurait somme toute assez dense, ce qui était de bon augure pour la longue ligne qui nous amènerait ensuite jusqu'à l'extrême est du parcours, et sur laquelle nous allions avoir un vent de face.
J'ai complété le premier km en 4:04. Voulant effacer le retard le plus tôt possible, d'autant plus que la portion du parcours avec un vent de face s'en venait, j'ai accéléré le pas.
En tournant à gauche sur le boulevard Poirier pour entamer cette partie de la course qui s'annonçait pénible, je me suis placé derrière un gars un peu plus grand que moi qui avançait à un bon rythme, question de m'abriter du vent. Le panneau indiquant la fin du 2e km est arrivé assez rapidement: 3:57. J'étais donc pratiquement dans les temps après 2 km. C'était déjà ça de gagné.
Une ou deux minutes plus tard, j'ai été pris d'un sursaut d'éthique: le gars devant moi, qui avait un bonnet et portait un chandail du marathon de Philadelphie, me tirait depuis un bout, et il méritait que je lui rende la pareille pendant quelque temps. Je me suis donc placé devant lui et, à ma grande surprise, j'ai constaté que j'avais assez de gaz pour rejoindre les gens devant moi. Je l'ai fait le plus rapidement possible, question là encore de m'abriter du vent. J'ai suivi une femme pendant une ou deux minutes, pour finalement la dépasser quand j'ai constaté (Ô Horreur!) que mon rythme venait de tomber quelque part entre 4:15/km et 4:20/km.
Quelques secondes plus tard, l'homme au bonnet m'a redépassé. Comme il avait l'air en pleine possession de ses moyens et qu'il allait vite, j'ai décidé d'essayer de le suivre, ce que j'ai finalement réussi à faire jusqu'à la fin de la course. Mes temps aux km 3 et 4 ont été de 4:02 et 4:00, respectivement. Le vent de face ne m'avait donc pas trop ralenti, et j'étais optimiste pour le reste de la course, sachant que le vent serait de dos jusqu'à la dernière ligne droite sur Cavendish, laquelle va en descendant vers l'arrivée.
L'homme au bonnet et moi n'avons jamais été séparés de plus de 3 ou 4 secondes, et selon mes souvenirs nous avons dépassé plusieurs personnes. À plusieurs reprises, j'ai donné un petit coup de gaz pour éviter qu'il ne s'éloigne trop. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que si je n'avais pas eu de «meneur d'allure», j'aurais atteint Cavendish un bon 10 ou 20 secondes plus tard que je l'ai fait.
Comme l'homme au bonnet jetait régulièrement des coups d'oeil à sa montre, j'en ai conclu qu'il cherchait lui aussi à terminer sous les 20 minutes. Ça m'a un peu rassuré. Je n'avais qu'à continuer à le suivre pour terminer sous les 20 minutes!
Il a finalement réussi à me distancier de 20 ou 30 mètres dans la descente sur Cavendish, et en regardant le cadran officiel de la course j'ai compris qu'il allait falloir que je pèse sur le champignon pour réussir à terminer sous les 20 minutes. Donnant tout ce que j'avais, j'ai finalement croisé la ligne d'arrivée en 19:56, 2 secondes derrière l'homme au bonnet qui, vous l'aurez deviné, s'adonnait à être Yves Boisvert.
Un temps de 19:56, donc. Six secondes de mieux que le mois dernier à LaSalle. D'un côté, je me dis qu'en première approximation c'est le même temps, et que je n'ai rien accompli de plus aujourd'hui qu'à LaSalle. D'un autre côté, là c'est «vraiment vrai»: j'ai finalement atteint le but un peu fou que je m'étais fixé il y a près de 5 mois.
Pour le moment, je n'ai pas la moindre idée de ce que sera ma prochaine course ou du moment où elle aura lieu, et c'est très bien comme ça. Il y a de gros bouleversements dans ma vie en ce moment, et j'ai besoin d'une petite pause de compétition. Vivement de longues sorties zen sur la montagne ou dans la nature, avant que la chaleur étouffante tombe sur Montréal...
Voilà, maintenant vous savez tout. C'est donc ici que se termine ce billet.
Mais non, voyons, comment pourrais-je écrire un compte rendu de course qui ne fasse pas mention de toasts au beurre de pinottes, ne serait-ce que pour dire que je n'en ai pas mangé ce matin? J'ai tout de même respecté ma routine pré-course qui consiste à prendre un bon déjeuner que je termine environ 3 heures avant le départ.
Je me suis par ailleurs assuré d'arriver une bonne heure avant la course, question d'avoir le temps de récupérer mon enveloppe de coureur, de décider de la stratégie vestimentaire optimale dans le froid quasi hivernal (3˚C, vent de 28 km/h), d'aller porter mon sac au vestiaire, de m'échauffer et de faire un arrêt aux puits. Une fois que tout cela a été fait, je me suis présenté rapidement sur l'aire de départ afin de m'assurer d'avoir une place près de l'avant du peloton puisque, comme dans le cas de la Course et marche populaires de LaSalle, il n'y a pas de tapis de départ. C'est donc le gun time qui fait foi de tout.
J'étais placé relativement près de la ligne de départ (à environ 3 ou 4 mètres), et en regardant autour de moi j'ai vu plusieurs personnes qui n'avaient pas d'affaire dans ce coin du peloton. D'un autre côté, comment blâmer ces gens de vouloir que leur temps de course officiel corresponde le mieux possible à leur temps réel? La personne qui s'est entraînée fort pour être en mesure de courir un 5 km sous les 30 minutes mérite tout autant que celle qui finit en 15 ou 20 minutes d'avoir un temps affiché qui reflète ses efforts. Avec plus de 600 participants, avoir des tapis au départ devient donc une nécessité selon moi, quitte à ce que l'inscription coûte quelques dollars de plus.
Comme il fallait s'y attendre, ce fut la cohue au départ. Tout en proférant quelques sacres dans ma tête, j'ai couru sur les sections du terre-plein du milieu de la route qui étaient dégagées, question d'être en mesure d'avancer sans être forcé à arrêter complètement à de multiples reprises.
Une fois que j'ai eu la voie libre, j'ai adopté instinctivement un rythme plus rapide que 4:00/km afin de rattraper le temps perdu, tout en espérant que je n'étais pas en train de me brûler. À mesure que nous nous dirigions vers le carré situé à l'extrême ouest du parcours, j'ai noté avec soulagement que le peloton demeurait somme toute assez dense, ce qui était de bon augure pour la longue ligne qui nous amènerait ensuite jusqu'à l'extrême est du parcours, et sur laquelle nous allions avoir un vent de face.
Image via le site de la course
J'ai complété le premier km en 4:04. Voulant effacer le retard le plus tôt possible, d'autant plus que la portion du parcours avec un vent de face s'en venait, j'ai accéléré le pas.
En tournant à gauche sur le boulevard Poirier pour entamer cette partie de la course qui s'annonçait pénible, je me suis placé derrière un gars un peu plus grand que moi qui avançait à un bon rythme, question de m'abriter du vent. Le panneau indiquant la fin du 2e km est arrivé assez rapidement: 3:57. J'étais donc pratiquement dans les temps après 2 km. C'était déjà ça de gagné.
Une ou deux minutes plus tard, j'ai été pris d'un sursaut d'éthique: le gars devant moi, qui avait un bonnet et portait un chandail du marathon de Philadelphie, me tirait depuis un bout, et il méritait que je lui rende la pareille pendant quelque temps. Je me suis donc placé devant lui et, à ma grande surprise, j'ai constaté que j'avais assez de gaz pour rejoindre les gens devant moi. Je l'ai fait le plus rapidement possible, question là encore de m'abriter du vent. J'ai suivi une femme pendant une ou deux minutes, pour finalement la dépasser quand j'ai constaté (Ô Horreur!) que mon rythme venait de tomber quelque part entre 4:15/km et 4:20/km.
Quelques secondes plus tard, l'homme au bonnet m'a redépassé. Comme il avait l'air en pleine possession de ses moyens et qu'il allait vite, j'ai décidé d'essayer de le suivre, ce que j'ai finalement réussi à faire jusqu'à la fin de la course. Mes temps aux km 3 et 4 ont été de 4:02 et 4:00, respectivement. Le vent de face ne m'avait donc pas trop ralenti, et j'étais optimiste pour le reste de la course, sachant que le vent serait de dos jusqu'à la dernière ligne droite sur Cavendish, laquelle va en descendant vers l'arrivée.
L'homme au bonnet et moi n'avons jamais été séparés de plus de 3 ou 4 secondes, et selon mes souvenirs nous avons dépassé plusieurs personnes. À plusieurs reprises, j'ai donné un petit coup de gaz pour éviter qu'il ne s'éloigne trop. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que si je n'avais pas eu de «meneur d'allure», j'aurais atteint Cavendish un bon 10 ou 20 secondes plus tard que je l'ai fait.
Comme l'homme au bonnet jetait régulièrement des coups d'oeil à sa montre, j'en ai conclu qu'il cherchait lui aussi à terminer sous les 20 minutes. Ça m'a un peu rassuré. Je n'avais qu'à continuer à le suivre pour terminer sous les 20 minutes!
Il a finalement réussi à me distancier de 20 ou 30 mètres dans la descente sur Cavendish, et en regardant le cadran officiel de la course j'ai compris qu'il allait falloir que je pèse sur le champignon pour réussir à terminer sous les 20 minutes. Donnant tout ce que j'avais, j'ai finalement croisé la ligne d'arrivée en 19:56, 2 secondes derrière l'homme au bonnet qui, vous l'aurez deviné, s'adonnait à être Yves Boisvert.
Mes partiels. Capture d'écran venant de mon compte Garmin Connect
Un temps de 19:56, donc. Six secondes de mieux que le mois dernier à LaSalle. D'un côté, je me dis qu'en première approximation c'est le même temps, et que je n'ai rien accompli de plus aujourd'hui qu'à LaSalle. D'un autre côté, là c'est «vraiment vrai»: j'ai finalement atteint le but un peu fou que je m'étais fixé il y a près de 5 mois.
Pour le moment, je n'ai pas la moindre idée de ce que sera ma prochaine course ou du moment où elle aura lieu, et c'est très bien comme ça. Il y a de gros bouleversements dans ma vie en ce moment, et j'ai besoin d'une petite pause de compétition. Vivement de longues sorties zen sur la montagne ou dans la nature, avant que la chaleur étouffante tombe sur Montréal...
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Pepére se crinque
Semaine du 15/04/2012
Ma semaine d'entraînement s'est dans l'ensemble assez bien déroulée.
Dimanche: Musculation.
Lundi: Séance d'entraînement sur piste au CEPSUM, la dernière avant le 5 km de la Course de St-Laurent. J'en ai modifié le déroulement pour tenir compte de la température qui prévalait à l'extérieur (28˚C, humidex de 30). Même si le CEPSUM est climatisé, il y faisait en effet plus chaud que d'habitude. J'ai donc fait 1 tour de course lente et un tour de marche entre les intervalles 5-k, comparativement à 3 tours de course lente le mardi précédent. Ainsi, mon humble carcasse a de nouveau bénéficié d'environ 3 minutes de repos entre les intervalles, mais le tour de marche a permis à ladite carcasse de se refroidir davantage. Ça a donc donné ceci:
Si c'était à refaire, j'enlèverais le tour de course lente entre les intervalles. Le tableau montre en effet que mes FC redescendaient trop entre les intervalles 5-k, et que par conséquent cette séance n'a pas pas suffisamment stressé mon VO2max. Mais bon, j'ai tout de même couru plus de 5,5 km à mon rythme 5-k, ce qui n'est pas à dédaigner... Après 1 tour de marche et 3 tours de course lente, j'ai aussi travaillé ma «vitesse» de pointe en faisant 4 x (1 tour de course à fond + 1 tour de marche). Avec les 8 tours de réchauffement et les 6 tours de retour au calme, ça a donné un total de 55 tours de course, pour environ 10,1 km.
Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course (6,7 km). Le vent de face, froid et plutôt vigoureux, a été un bon incitatif à aller vite... Temps: 32:49. FCmoy=129 bpm, FCmax=141 bpm.
Mercredi: Longue sortie de la semaine, aller-retour au mont Royal avec 2 tours de la boucle du sommet, soit exactement le même parcours que le jeudi précédent. Parti à 21h40, j'ai décidé de mettre la pédale douce pour tenir compte de mon début d'endormissement. J'ai croisé, en plus de quelques petits groupes de fêtards, un autre fou qui courait comme moi à la frontale dans la boucle du sommet à cette heure indue... Dans la catégorie «trop d'informations», j'ai dû m'arrêter à l'hôpital St-Mary sur le chemin du retour pour permettre à mes intestins de se délester un peu. Avec des pulsations qui ne semblaient plus vouloir remonter au dessus de 110 bpm, j'ai gelé pendant le reste de la descente. Bien que j'aie fait le même trajet que la semaine précédente avec les mêmes chaussures (MT10), mes mollets sont cette fois-ci restés très tranquilles. C'est fou comme le corps peut s'adapter vite! 20,9 km courus en 116:43. FCmoy=121 bpm, FCmax=151 bpm.
Jeudi: Musculation.
Samedi: Petite sortie de course pour réveiller mes jambes en prévision du 5 km de St-Laurent. Idéalement, j'aurais couru vendredi au lieu de samedi, mais nous ne vivons pas dans un monde idéal... 6,6 km courus en 32:57. FCmoy=132 bpm, FCmax=154 bpm (j'ai fait un sprint d'environ 150 m vers la fin).
En somme: 44,3 km de course à pied et 3 séances de musculation.
Depuis deux semaines j'ai été plus assidu côté musculation. J'ignore si c'est une coïncidence, mais j'ai noté un regain d'énergie pendant mes séances en comparaison des dernières semaines.
En même temps, je ne me sens pas très bien physiquement depuis 2 ou 3 jours. Au moins, j'ai beaucoup dormi cette semaine, ce qui aide beaucoup. Au moment où quelqu'un d'autre lira ces lignes, je saurai probablement déjà si ça a aidé suffisamment pour me permettre de briser la barre des 20 minutes au 5 km...
Dimanche: Musculation.
Lundi: Séance d'entraînement sur piste au CEPSUM, la dernière avant le 5 km de la Course de St-Laurent. J'en ai modifié le déroulement pour tenir compte de la température qui prévalait à l'extérieur (28˚C, humidex de 30). Même si le CEPSUM est climatisé, il y faisait en effet plus chaud que d'habitude. J'ai donc fait 1 tour de course lente et un tour de marche entre les intervalles 5-k, comparativement à 3 tours de course lente le mardi précédent. Ainsi, mon humble carcasse a de nouveau bénéficié d'environ 3 minutes de repos entre les intervalles, mais le tour de marche a permis à ladite carcasse de se refroidir davantage. Ça a donc donné ceci:
Si c'était à refaire, j'enlèverais le tour de course lente entre les intervalles. Le tableau montre en effet que mes FC redescendaient trop entre les intervalles 5-k, et que par conséquent cette séance n'a pas pas suffisamment stressé mon VO2max. Mais bon, j'ai tout de même couru plus de 5,5 km à mon rythme 5-k, ce qui n'est pas à dédaigner... Après 1 tour de marche et 3 tours de course lente, j'ai aussi travaillé ma «vitesse» de pointe en faisant 4 x (1 tour de course à fond + 1 tour de marche). Avec les 8 tours de réchauffement et les 6 tours de retour au calme, ça a donné un total de 55 tours de course, pour environ 10,1 km.
Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course (6,7 km). Le vent de face, froid et plutôt vigoureux, a été un bon incitatif à aller vite... Temps: 32:49. FCmoy=129 bpm, FCmax=141 bpm.
Mercredi: Longue sortie de la semaine, aller-retour au mont Royal avec 2 tours de la boucle du sommet, soit exactement le même parcours que le jeudi précédent. Parti à 21h40, j'ai décidé de mettre la pédale douce pour tenir compte de mon début d'endormissement. J'ai croisé, en plus de quelques petits groupes de fêtards, un autre fou qui courait comme moi à la frontale dans la boucle du sommet à cette heure indue... Dans la catégorie «trop d'informations», j'ai dû m'arrêter à l'hôpital St-Mary sur le chemin du retour pour permettre à mes intestins de se délester un peu. Avec des pulsations qui ne semblaient plus vouloir remonter au dessus de 110 bpm, j'ai gelé pendant le reste de la descente. Bien que j'aie fait le même trajet que la semaine précédente avec les mêmes chaussures (MT10), mes mollets sont cette fois-ci restés très tranquilles. C'est fou comme le corps peut s'adapter vite! 20,9 km courus en 116:43. FCmoy=121 bpm, FCmax=151 bpm.
Jeudi: Musculation.
Samedi: Petite sortie de course pour réveiller mes jambes en prévision du 5 km de St-Laurent. Idéalement, j'aurais couru vendredi au lieu de samedi, mais nous ne vivons pas dans un monde idéal... 6,6 km courus en 32:57. FCmoy=132 bpm, FCmax=154 bpm (j'ai fait un sprint d'environ 150 m vers la fin).
En somme: 44,3 km de course à pied et 3 séances de musculation.
Depuis deux semaines j'ai été plus assidu côté musculation. J'ignore si c'est une coïncidence, mais j'ai noté un regain d'énergie pendant mes séances en comparaison des dernières semaines.
En même temps, je ne me sens pas très bien physiquement depuis 2 ou 3 jours. Au moins, j'ai beaucoup dormi cette semaine, ce qui aide beaucoup. Au moment où quelqu'un d'autre lira ces lignes, je saurai probablement déjà si ça a aidé suffisamment pour me permettre de briser la barre des 20 minutes au 5 km...
dimanche 15 avril 2012
Bilan de la semaine du 08/04/2012
Après un bon début, ma dernière semaine d'entraînement a fini en queue de cheval, comme dirait probablement Jean Perron.
Dimanche: Sortie de 12,1 km par une température parfaite pour la course. Parti avec l'idée d'y aller mollo pour prendre soin de mes jambes courbaturées, j'ai finalement fait mon ascension la plus rapide à vie sur ce parcours (24:05), et mon 2e meilleur temps au total. Étonnamment, mes jambes étaient en bien meilleur état après la sortie qu'avant... Temps total: 62:17. FCmoy=131 bpm, FCmax=149 bpm.
Lundi: Musculation.
Mardi: Séance d'entraînement sur la piste du CEPSUM. Afin d'éviter une répétition de la débâcle du lundi précédent, j'ai décidé d'augmenter le nombre de tours de récupération entre les intervalles rapides, question de donner une chance à mon corps de se refroidir un peu. Je soupçonne en effet l'augmentation de ma température corporelle d'être en partie responsable de mes difficultés à l'entraînement au CEPSUM. Sinon, comment expliquer que j'aie beaucoup mieux performé au 5 km de LaSalle, par une température de 3˚C, que pendant chacune de mes séances d'entraînement? Toujours dans le but d'éviter une surchauffe, j'ai aussi décidé de ne pas faire d'intervalles DM avant les intervalles 5-k. Bref, mon but était avant tout de courir au moins 5 km au total à mon rythme visé (4:00/km). Ça a donc donné ceci:
J'ai fait 3 tours de récupération après chacun des intervalles, sauf après le 4e, quand je me suis limité à 2. À noter toutefois que j'ai aussi marché un tour après le 3e intervalle en raison d'un point au ventre. En raison de nausées, j'ai malheureusement dû ralentir un peu lors des deux derniers tours du dernier intervalle, que j'ai néanmoins conclu avec un petit sprint. Sinon, je me sentais bien, et, pour la première fois depuis des lunes, j'avais vraiment envie de pousser à fond et de me défouler pendant les intervalles rapides. J'ai aussi fait 3 x (1 tour à fond + 1 tour de marche). Avec les 8 tours de réchauffement et les 6 tours de retour au calme, ça a donné 60 tours de course, pour environ 11,0 km.
Mercredi: Musculation. Gros manque d'énergie.
Jeudi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au mont Royal, avec 2 tours de la boucle du sommet. Température quasi parfaite encore une fois (11-12˚C). J'ai beaucoup apprécié cette sortie. Si seulement les conditions pouvaient rester comme ça cet été... Mes mollets ont protesté dans les jours qui ont suivi cette sortie, qui était ma plus longue avec les MT10. 20,9 km courus en 115:54. FCmoy=130 bpm, FCmax=157 bpm.
Vendredi: Musculation. Aucune énergie. Retour chez moi à la course (6,7 km). Temps: 33:14. FCmoy=133 bpm, FCmax=145 bpm.
Samedi: 120 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 80 minutes. Pas de jambes, pas d'énergie. Mon manque de sommeil et le manque de joueurs au banc n'ont pas aidé.
En somme: 50,7 km de course à pied, 3 séances de musculation et environ 80 minutes de temps de jeu au cosom.
C'est ça qui est ça. Il me reste une seule séance d'intervalles avant le 5 km de la Course de St-Laurent, qui aura lieu dimanche prochain. Pourvu qu'il ne fasse pas trop chaud dimanche prochain...
Dimanche: Sortie de 12,1 km par une température parfaite pour la course. Parti avec l'idée d'y aller mollo pour prendre soin de mes jambes courbaturées, j'ai finalement fait mon ascension la plus rapide à vie sur ce parcours (24:05), et mon 2e meilleur temps au total. Étonnamment, mes jambes étaient en bien meilleur état après la sortie qu'avant... Temps total: 62:17. FCmoy=131 bpm, FCmax=149 bpm.
Lundi: Musculation.
Mardi: Séance d'entraînement sur la piste du CEPSUM. Afin d'éviter une répétition de la débâcle du lundi précédent, j'ai décidé d'augmenter le nombre de tours de récupération entre les intervalles rapides, question de donner une chance à mon corps de se refroidir un peu. Je soupçonne en effet l'augmentation de ma température corporelle d'être en partie responsable de mes difficultés à l'entraînement au CEPSUM. Sinon, comment expliquer que j'aie beaucoup mieux performé au 5 km de LaSalle, par une température de 3˚C, que pendant chacune de mes séances d'entraînement? Toujours dans le but d'éviter une surchauffe, j'ai aussi décidé de ne pas faire d'intervalles DM avant les intervalles 5-k. Bref, mon but était avant tout de courir au moins 5 km au total à mon rythme visé (4:00/km). Ça a donc donné ceci:
J'ai fait 3 tours de récupération après chacun des intervalles, sauf après le 4e, quand je me suis limité à 2. À noter toutefois que j'ai aussi marché un tour après le 3e intervalle en raison d'un point au ventre. En raison de nausées, j'ai malheureusement dû ralentir un peu lors des deux derniers tours du dernier intervalle, que j'ai néanmoins conclu avec un petit sprint. Sinon, je me sentais bien, et, pour la première fois depuis des lunes, j'avais vraiment envie de pousser à fond et de me défouler pendant les intervalles rapides. J'ai aussi fait 3 x (1 tour à fond + 1 tour de marche). Avec les 8 tours de réchauffement et les 6 tours de retour au calme, ça a donné 60 tours de course, pour environ 11,0 km.
Mercredi: Musculation. Gros manque d'énergie.
Jeudi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au mont Royal, avec 2 tours de la boucle du sommet. Température quasi parfaite encore une fois (11-12˚C). J'ai beaucoup apprécié cette sortie. Si seulement les conditions pouvaient rester comme ça cet été... Mes mollets ont protesté dans les jours qui ont suivi cette sortie, qui était ma plus longue avec les MT10. 20,9 km courus en 115:54. FCmoy=130 bpm, FCmax=157 bpm.
Vendredi: Musculation. Aucune énergie. Retour chez moi à la course (6,7 km). Temps: 33:14. FCmoy=133 bpm, FCmax=145 bpm.
Samedi: 120 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 80 minutes. Pas de jambes, pas d'énergie. Mon manque de sommeil et le manque de joueurs au banc n'ont pas aidé.
En somme: 50,7 km de course à pied, 3 séances de musculation et environ 80 minutes de temps de jeu au cosom.
C'est ça qui est ça. Il me reste une seule séance d'intervalles avant le 5 km de la Course de St-Laurent, qui aura lieu dimanche prochain. Pourvu qu'il ne fasse pas trop chaud dimanche prochain...
Bilan de la semaine du 01/04/2012
Bon, il serait temps que je termine ce billet commencé il y a une semaine...
Lundi: Tentative d'intervalles sur piste au CEPSUM. Après avoir cherché et trouvé mon nouveau rythme du demi-marathon prédit par le calculateur McMillan, je me suis attelé à la tâche de faire 5 intervalles à mon rythme 5-k. J'ai cassé pendant le 3e, qui devait durer 6 tours. Même si j'essayais de pousser, je ne sentais aucune force dans les muscles de mes cuisses et perdais de plus en plus de temps à chaque tour. J'ai essayé de refaire un autre intervalle 5-k après quelques minutes de marche et des tours plus lents, mais après 3 tours j'ai dû me rendre à l'évidence: ce n'était vraiment pas ma journée. J'ai tout de même fait ceci:
Avec les 2 tours de récupération entre les intervalles et les tours plus lents, j'ai fait un total de 48 tours, pour environ 8,8 km.
Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course (6,7 km). J'ai peut-être un peu trop poussé, mais ça allait vite tout seul. Temps: 33:20. FCmoy=134 bpm, FCmax=146 bpm.
Mercredi: Bien que ce n'était pas prévu, j'ai finalement fait le T3SP, le tout des 3 sommets pepérien! (À ne surtout pas confondre avec le T3SB.) Je me suis tapé les sommets dans l'ordre suivant: principal (montée par Olmsted/belvédère Camilien-Houde, descente par le cimetière), Outremont (montée par le bois SJB, descente par le campus) et Westmount (montée via l'Oratoire, descente par Sunnyside/Victoria). Bien que cette sortie n'ait pas été ma plus longue de la semaine en terme de distance, c'est celle qui a duré le plus longtemps. L'ascension du dernier sommet, par les marches de l'Oratoire, a été difficile en titi... 17,6 km courus en 104:12. FCmoy=125 bpm, FCmax=155 bpm.
Jeudi: Musculation. Aucune énergie. Les exercices pour les abdominaux ont été particulièrement difficiles.
Vendredi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au parc René-Lévesque. Des jambes fatiguées et un genou gauche douloureux pendant les premiers km m'ont incité à être sage. J'ai tout de même terminé à moins de deux minutes de mon meilleur temps sur ce parcours, réalisé deux semaines plus tôt. Une belle sortie, au cours de laquelle j'aurais même eu droit à un coucher de soleil, n'eut été des saules pleureurs du parc qui étaient dans mon champ de vision, les vilains. L'avantage d'avoir un temps frais et venteux quand on court au parc René-Lévesque au coucher du soleil, c'est qu'il n'y a pas de risques de sniffer des mouches, comme il m'est déjà arrivé à cet endroit en plein été... 19,5 km courus en 102:22. FCmoy=130 bpm, FCmax=144 bpm.
Samedi: 110 minutes de hockey cosom. Ma semaine de course à pied m'est rentrée dans le corps: après une trentaine de minutes j'étais déjà brûlé... Heureusement, je n'ai pas reçu de coup de bâton en pleine face cette fois-ci. Temps de jeu: environ 70 minutes.
En somme: 52,6 km de course à pied, 2 séances de musculation et environ 70 minutes de temps de jeu au cosom.
Mine de rien, ça a été ma plus grosse semaine de course jusqu'à maintenant en 2012. Dommage que l'énergie n'ait pas toujours été au rendez-vous...
Trois facteurs pourraient expliquer mon incapacité à terminer ma séance d'intervalles de lundi: le stress intense auquel je suis soumis ces temps-ci, et cette semaine-là en particulier; les suites du coup de bâton que j'avais reçu deux jours auparavant; ou un quelconque virus que j'aurais couvé, et que mon système immunitaire aurait détruit rapidement (je n'ai finalement pas eu de rhume ou de grippe). Le dimanche et le lundi de cette semaine du 1er avril, je sentais que mes sinus étaient bizarroïdes dès que je faisais un effort physique le moindrement intense. Comme c'est le le haut de ma joue droite qui avait subi le gros de l'impact le samedi, et que cette région est ensuite demeurée assez sensible au toucher pendant quelques jours, j'ai tendance à croire que tout est de la faute du coup de bâton...
Lundi: Tentative d'intervalles sur piste au CEPSUM. Après avoir cherché et trouvé mon nouveau rythme du demi-marathon prédit par le calculateur McMillan, je me suis attelé à la tâche de faire 5 intervalles à mon rythme 5-k. J'ai cassé pendant le 3e, qui devait durer 6 tours. Même si j'essayais de pousser, je ne sentais aucune force dans les muscles de mes cuisses et perdais de plus en plus de temps à chaque tour. J'ai essayé de refaire un autre intervalle 5-k après quelques minutes de marche et des tours plus lents, mais après 3 tours j'ai dû me rendre à l'évidence: ce n'était vraiment pas ma journée. J'ai tout de même fait ceci:
Avec les 2 tours de récupération entre les intervalles et les tours plus lents, j'ai fait un total de 48 tours, pour environ 8,8 km.
Mardi: Musculation. Retour chez moi à la course (6,7 km). J'ai peut-être un peu trop poussé, mais ça allait vite tout seul. Temps: 33:20. FCmoy=134 bpm, FCmax=146 bpm.
Mercredi: Bien que ce n'était pas prévu, j'ai finalement fait le T3SP, le tout des 3 sommets pepérien! (À ne surtout pas confondre avec le T3SB.) Je me suis tapé les sommets dans l'ordre suivant: principal (montée par Olmsted/belvédère Camilien-Houde, descente par le cimetière), Outremont (montée par le bois SJB, descente par le campus) et Westmount (montée via l'Oratoire, descente par Sunnyside/Victoria). Bien que cette sortie n'ait pas été ma plus longue de la semaine en terme de distance, c'est celle qui a duré le plus longtemps. L'ascension du dernier sommet, par les marches de l'Oratoire, a été difficile en titi... 17,6 km courus en 104:12. FCmoy=125 bpm, FCmax=155 bpm.
Jeudi: Musculation. Aucune énergie. Les exercices pour les abdominaux ont été particulièrement difficiles.
Vendredi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au parc René-Lévesque. Des jambes fatiguées et un genou gauche douloureux pendant les premiers km m'ont incité à être sage. J'ai tout de même terminé à moins de deux minutes de mon meilleur temps sur ce parcours, réalisé deux semaines plus tôt. Une belle sortie, au cours de laquelle j'aurais même eu droit à un coucher de soleil, n'eut été des saules pleureurs du parc qui étaient dans mon champ de vision, les vilains. L'avantage d'avoir un temps frais et venteux quand on court au parc René-Lévesque au coucher du soleil, c'est qu'il n'y a pas de risques de sniffer des mouches, comme il m'est déjà arrivé à cet endroit en plein été... 19,5 km courus en 102:22. FCmoy=130 bpm, FCmax=144 bpm.
Samedi: 110 minutes de hockey cosom. Ma semaine de course à pied m'est rentrée dans le corps: après une trentaine de minutes j'étais déjà brûlé... Heureusement, je n'ai pas reçu de coup de bâton en pleine face cette fois-ci. Temps de jeu: environ 70 minutes.
En somme: 52,6 km de course à pied, 2 séances de musculation et environ 70 minutes de temps de jeu au cosom.
Mine de rien, ça a été ma plus grosse semaine de course jusqu'à maintenant en 2012. Dommage que l'énergie n'ait pas toujours été au rendez-vous...
Trois facteurs pourraient expliquer mon incapacité à terminer ma séance d'intervalles de lundi: le stress intense auquel je suis soumis ces temps-ci, et cette semaine-là en particulier; les suites du coup de bâton que j'avais reçu deux jours auparavant; ou un quelconque virus que j'aurais couvé, et que mon système immunitaire aurait détruit rapidement (je n'ai finalement pas eu de rhume ou de grippe). Le dimanche et le lundi de cette semaine du 1er avril, je sentais que mes sinus étaient bizarroïdes dès que je faisais un effort physique le moindrement intense. Comme c'est le le haut de ma joue droite qui avait subi le gros de l'impact le samedi, et que cette région est ensuite demeurée assez sensible au toucher pendant quelques jours, j'ai tendance à croire que tout est de la faute du coup de bâton...
dimanche 1 avril 2012
Semaine du 25/03/2012
Dimanche: 5 km de la Course et marche populaires de LaSalle. Avec le réchauffement et le trottinage dans les rues environnantes après la course, j'ai couru environ 10 km. Et je ne l'ai pas mentionné dans mon compte-rendu, mais il s'agissait du baptême coursien de mes MR10, qui ont très bien fait ça.
Lundi: Sortie de course de 8,3 km. J'ai ménagé mes mollets et tendons d'Achille, qui se ressentaient encore de la course de la veille. Temps: 43:17. FCmoy=129 bpm, FCmax=146 bpm.
Mardi: Musculation.
Mercredi: Sortie de course sur la colline de Westmount, qui est maintenant presque complètement libre de neige. J'ai senti une douleur aiguë au tendon d'Achille gauche environ au milieu de l'ascension, mais ça s'est replacé par la suite. Il y avait un beau petit brouillard sur la colline. 13,1 km courus en 74:09. FCmoy=127 bpm, FCmax=152 bpm.
Jeudi: Musculation.
Vendredi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au mont Royal. Ascension: Trafalgar. Descente: Remembrance. Manque d'énergie dans les derniers km. J'ai trouvé que mes FC étaient élevées à l'aller. Mais bon, il était tard... 18,6 km courus en 101:04. FCmoy=136 bpm, FCmax=158 bpm.
Samedi: Environ 100 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 70 minutes. Mon match a pris fin de façon abrupte à 10 minutes de la fin...
En somme, 50 km de course à pied, 2 séances de musculation et environ 70 minutes de temps de jeu au cosom.
C'était ma première semaine de 50 km depuis un bout, et autant ma bandelette droite que ma cheville gauche sont demeurées tranquilles. Mon genou gauche me tracasse un peu, mais il y a eu amélioration de ce côté ces derniers jours, et j'ai bon espoir que tout va tenir jusqu'au 5 km de la Course St-Laurent le mois prochain.
Lundi: Sortie de course de 8,3 km. J'ai ménagé mes mollets et tendons d'Achille, qui se ressentaient encore de la course de la veille. Temps: 43:17. FCmoy=129 bpm, FCmax=146 bpm.
Mardi: Musculation.
Mercredi: Sortie de course sur la colline de Westmount, qui est maintenant presque complètement libre de neige. J'ai senti une douleur aiguë au tendon d'Achille gauche environ au milieu de l'ascension, mais ça s'est replacé par la suite. Il y avait un beau petit brouillard sur la colline. 13,1 km courus en 74:09. FCmoy=127 bpm, FCmax=152 bpm.
Jeudi: Musculation.
Vendredi: Longue sortie de course de la semaine, aller-retour au mont Royal. Ascension: Trafalgar. Descente: Remembrance. Manque d'énergie dans les derniers km. J'ai trouvé que mes FC étaient élevées à l'aller. Mais bon, il était tard... 18,6 km courus en 101:04. FCmoy=136 bpm, FCmax=158 bpm.
Samedi: Environ 100 minutes de hockey cosom. Temps de jeu: environ 70 minutes. Mon match a pris fin de façon abrupte à 10 minutes de la fin...
En somme, 50 km de course à pied, 2 séances de musculation et environ 70 minutes de temps de jeu au cosom.
C'était ma première semaine de 50 km depuis un bout, et autant ma bandelette droite que ma cheville gauche sont demeurées tranquilles. Mon genou gauche me tracasse un peu, mais il y a eu amélioration de ce côté ces derniers jours, et j'ai bon espoir que tout va tenir jusqu'au 5 km de la Course St-Laurent le mois prochain.
Aujourd'hui, 1er avril
Hé oui, nous sommes toujours le 1er avril. Il faut donc se méfier, car des gens sans scrupules peuvent profiter de cette date pour dire (ou écrire) n'importe quoi. Remarquez que certaines personnes ne se gênent pas pour dire n'importe quoi à l'année longue, mais ça, c'est une autre histoire.
Toujours est-il que mon visage a présentement l'air de ça:
Comme c'est le 1er avril, donc, on va dire que mes blessures de guerre (bien réelles, malheureusement...) ont été subies lorsque, n'écoutant que mon courage et mon sens du devoir citoyen, j'ai héroïquement porté secours à une veuve et un orphelin aux prises avec une bande de voyous qui voulaient leur dérober leurs sacs de victuailles achetées avec les dernières économies de madame. On va dire que l'un d'eux m'a surpris avec une bonne droite après que j'aie mis KO ses 5 comparses, et que je me suis relevé juste à temps pour le finir avec un coup de pied renversé qui aurait fait rougir Chuck Norris de honte.
Ouais, on va dire que c'est ce qui s'est passé, et que la pommette du bâton d'un adversaire de hockey cosom avec qui j'étais en lutte pour la possession de la balle ne m'a pas frappé à la joue, à la paupière et à l'arcade sourcilière quand ledit adversaire (qui me dépasse d'une bonne tête) a dépris la palette de son bâton de la fissure dans laquelle elle s'était fichée. Ouais. Comme c'est le 1er avril, on va s'en tenir à la première version...
Toujours est-il que mon visage a présentement l'air de ça:
Comme c'est le 1er avril, donc, on va dire que mes blessures de guerre (bien réelles, malheureusement...) ont été subies lorsque, n'écoutant que mon courage et mon sens du devoir citoyen, j'ai héroïquement porté secours à une veuve et un orphelin aux prises avec une bande de voyous qui voulaient leur dérober leurs sacs de victuailles achetées avec les dernières économies de madame. On va dire que l'un d'eux m'a surpris avec une bonne droite après que j'aie mis KO ses 5 comparses, et que je me suis relevé juste à temps pour le finir avec un coup de pied renversé qui aurait fait rougir Chuck Norris de honte.
Ouais, on va dire que c'est ce qui s'est passé, et que la pommette du bâton d'un adversaire de hockey cosom avec qui j'étais en lutte pour la possession de la balle ne m'a pas frappé à la joue, à la paupière et à l'arcade sourcilière quand ledit adversaire (qui me dépasse d'une bonne tête) a dépris la palette de son bâton de la fissure dans laquelle elle s'était fichée. Ouais. Comme c'est le 1er avril, on va s'en tenir à la première version...
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