dimanche 1 avril 2012

Aujourd'hui, 1er avril

Hé oui, nous sommes toujours le 1er avril. Il faut donc se méfier, car des gens sans scrupules peuvent profiter de cette date pour dire (ou écrire) n'importe quoi. Remarquez que certaines personnes ne se gênent pas pour dire n'importe quoi à l'année longue, mais ça, c'est une autre histoire.

Toujours est-il que mon visage a présentement l'air de ça:



Comme c'est le 1er avril, donc, on va dire que mes blessures de guerre (bien réelles, malheureusement...) ont été subies lorsque, n'écoutant que mon courage et mon sens du devoir citoyen, j'ai héroïquement porté secours à une veuve et un orphelin aux prises avec une bande de voyous qui voulaient leur dérober leurs sacs de victuailles achetées avec les dernières économies de madame. On va dire que l'un d'eux m'a surpris avec une bonne droite après que j'aie mis KO ses 5 comparses, et que je me suis relevé juste à temps pour le finir avec un coup de pied renversé qui aurait fait rougir Chuck Norris de honte.

Ouais, on va dire que c'est ce qui s'est passé, et que la pommette du bâton d'un adversaire de hockey cosom avec qui j'étais en lutte pour la possession de la balle ne m'a pas frappé à la joue, à la paupière et à l'arcade sourcilière quand ledit adversaire (qui me dépasse d'une bonne tête) a dépris la palette de son bâton de la fissure dans laquelle elle s'était fichée. Ouais. Comme c'est le 1er avril, on va s'en tenir à la première version...

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