lundi 29 mars 2010

Wouhou!

Nouveau test pour ma bandelette aujourd'hui: j'ai couru 12,1 km, le long d'un parcours que j'ai l'habitude de faire quand je suis en santé. Mes sorties les plus longues depuis le demi-marathon hypothermique et ma blessure à la bandelette avaient été jusqu'ici de 10,3 km (2 fois), sur un parcours relativement plat.

Le trajet que j'ai fait aujourd'hui comporte des dénivellations importantes, et ce sont ces dénivellations, plus que l'augmentation du kilométrage, qui me tracassaient. Monter ou descendre des côtes peut en effet contribuer au développement d'une blessure à une bandelette ilio-tibiale (à noter que dans Lore of Running, Tim Noakes mentionne seulement les pentes descendantes).

Toujours est-il que mon parcours d'aujourd'hui comportait sa part de côtes, notamment une longue montée sur Queen-Mary jusque devant l'Oratoire St-Joseph, puis la descente par Descelles, avec entre autres une pente très inclinée entre le chemin de la Côte-Ste-Catherine et la rue Linton.

Le verdict? Je me suis presque détruit les mollets pendant la montée, que j'ai également trouvée très fatigante (c'est fou comment le corps se «désentraîne» vite!), mais je n'ai ressenti aucune douleur ni sensation étrange à la bandelette avant, pendant ou après avoir couru. Et au moment d'écrire ces lignes, mes mollets vont beaucoup mieux.

Alors pour citer encore une fois le grand philosophe américain Homer Simpson: «Wouhou!»

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